Ottawa, Ontario – Larry Walker, Ernie Whitt et Bernie Soulliere présentent chacun des carrières uniques au baseball. D’ailleurs, tous trois joueront des rôles fort différents au sein d’Équipe Canada lors de la Classique mondiale de baseball qui se tiendra, entre autres endroit à Toronto au mois de mars prochain. Mais, ces trois légendes du baseball canadien seront tout de même réunies dans un but commun à St. Mary’s en Ontario, le 20 juin, alors que tour à tour, ils seront intronisés au Temple de la renommée du baseball canadien. « J’offre mes plus sincères félicitations à Larry, Ernie et Bernie, ils méritent pleinement tous les honneurs qui leur sont consentis », s’est exclamé le président de Baseball Canada, Ray Carter, lorsqu’il a appris la nouvelle. « Je suis très fier d’avoir été associé au cours de ma présence à Baseball Canada à ces trois hommes exceptionnels. » Larry Walker, en 17 ans de carrière dans les ligues majeures, a prouvé hors de tout doute qu’il était un joueur des plus complet. D’ailleurs, son nom est inscrit au livre des records du baseball canadien dans presque toutes les catégories offensives. Ne mentionnons seulement qu’il a claqué 383 circuits, 62 triples et 471 doubles parmi ses 2 160 coups sûrs en carrière! De plus, il a volé 230 buts au cours de ces années. Il a été élu au sein de l'équipe d'étoiles des ligues majeures cinq fois, il a gagné sept gants d'or et fut le meilleur frappeur de la ligue nationale trois fois. Sans oublier qu’il a été élu le joueur le plus utile à son équipe dans la Ligue nationale de baseball en 1997. En carrière il affiche une moyenne au bâton de .313 et une moyenne de puissance de .565, ce qui le classe au 15e rang de toute l’histoire des ligues majeures. Natif de Maple Ridge en Colombie-Britannique, il sera l’entraîneur des frappeurs d’Équipe Canada lors de la prochaine Classique mondiale de baseball. « Le mot clé de cet honneur, selon moi, est essentiellement le mot “Canadien” », a expliqué Larry Walker peu après avoir été honoré. « J’ai toujours essayé de me rappeler mes racines, et ce, même quand j’ai joué au Colorado et à St-Louis, après mon passage à Montréal. J’ai toujours été fier de représenter mon pays et je suis emballé par le nombre de Canadiens qui évoluent aujourd’hui dans les ligues majeures. » « J’ai la chance de les côtoyer au sein d’équipe Canada. Ils sont humbles, ils ne parlent pas d’eux-mêmes ou de leurs performances. Ils sont fiers lorsqu’ils endossent le chandail de leur pays. » « Depuis que je suis à la retraite, je me suis consacré à mes enfants afin de rattraper le temps perdu en raison de ma carrière, mais la camaraderie que j’éprouve pour les joueurs de l’équipe canadienne et mon rôle auprès d’eux font en sorte qu’il devient difficile pour moi de ne pas être présent avec eux. » « Larry est un être vraiment spécial. Il est unique! Il est un vrai Canadien », tient à préciser l’entraîneur et le directeur des équipes nationales de Baseball Canada, Greg Hamilton. « Nous sommes très chanceux de pouvoir compter sur l’implication de Larry Walker avec nous à Baseball Canada au sein du programme des équipes nationales. Son style de leadership, accommodant et engageant, avec les joueurs, fait de lui un candidat de choix au sein de notre personnel d’entraîneurs pour la Classique mondiale de baseball. Comment pourrions-nous nous passer d’un homme aussi respecté de tous? » « Larry a sûrement établi les standards pour les joueurs de position canadien », fait remarquer Ray Carter. « Plusieurs des Canadiens qui évoluent dans les ligues majeures, dans les ligues mineures et au niveau amateur ont été amenés à jouer au baseball en raison de Larry Walker. Nous lui devons beaucoup pour cette contribution au baseball canadien. » Ernie Whitt, qui est actuellement gérant au sein de l’organisation de Phillies de Philadelphie, est classé quatrième dans toute l’histoire des Blue Jays de Toronto pour le plus grand nombre de matchs disputés en carrière avec 1 218. « Il est le plus canadien des non-Canadiens que tu peux rencontrer », explique le président du Temple de la renommée du baseball canadien, Tom Valcke, qui a toujours été un des partisans des Blue Jays de Toronto. Au terme de sa carrière de joueur, Whitt est retourné avec les Blue Jays comme entraîneur, poste qu’il occupera au sein de l’organisation torontoise durant 12 saisons, dont les quatre dernières avec des clubs-écoles. Les plus grands succès de Whitt comme entraîneur sont toutefois survenus alors qu’il occupait le poste de gérant de l’équipe nationale senior de Baseball Canada. Lors de son premier séjour avec l’équipe, en 1999, il a mené les siens à une médaille de bronze aux Jeux panaméricains tenus à Winnipeg. Il en a rajouté amenant son équipe au deuxième rang du tournoi de qualification pour les Jeux olympiques tenus à Panama en 2003, la première fois que le Canada se qualifiait pour les Jeux olympiques au baseball depuis 1988. Une fois aux Jeux olympiques d’Athènes en 2004, Whitt a mené l’équipe à la quatrième position. Finalement, au cours du séjour de Whitt avec l’équipe, le Canada remportera une de ses plus belles victoires sur la scène internationale, défaisant la formation des États-Unis lors de la première édition de la Classique mondiale de baseball en 2006. Le Canada a terminé la première ronde de ce tournoi avec deux victoires et une défaite, égaux avec deux équipes en tête du classement, mais ce sont les Canadiens, en raison de statistiques, qui ont été exclus de la suite des compétitions. « Je suis très excité par cet honneur. J’ai la chair de poule seulement à en parler », a laissé entendre Whitt. « Être intronisé au Temple de la renommée d’un autre pays que le tien est un accomplissement incroyable. J’en suis très fier. En plus de tous mes souvenirs de joueur et d’entraîneur avec les Blue Jays, admettons que je suis très heureux d’avoir la chance d’endosser encore aujourd’hui l’uniforme canadien. Le Canada peut être assuré que nous allons y aller de nos meilleurs efforts lors de la prochaine Classique mondiale de baseball. » « Ernie est vraiment l’un des meilleurs leaders de notre organisation au fil des ans. Nous sommes tous très fiers de compter sur lui au sein de la grande famille de Baseball Canada », a conclu Ray Carter. « Il est un gérant fort apprécié de ses joueurs. Il est fantastique de le voir travailler avec eux. Il impose le respect sans jamais le demander. Ses décisions font l’unanimité en raison, justement, du grand respect que les joueurs lui vouent », de conclure Greg Hamilton. Bernie Soulliere a contribué à faire de Windsor en Ontario un des meilleurs endroits pour jouer au baseball au Canada. Dans les cercles du baseball amateur, avec les équipes provinciales et les équipes nationales, il a été un bénévole des plus efficaces qui en tout temps a toutefois occupé le derrière de la scène, et ce, durant plus de 40 ans. Il a été un entraîneur qui a mené des équipes de Windsor au championnat provincial de l’Ontario à quatre reprises et il a remporté deux championnats nationaux dans les années 1970. Il a été président du comité organisateur quand la ville de Windsor a été l’hôte des championnats mondiaux de baseball junior en 1986, 1987 et 1993 et il était le directeur général de l’équipe ontarienne qui a gagné trois médailles d’or consécutives lors des Jeux du Canada d’été de 1981, de 1985 et de 1989. Soulliere a aussi occupé le poste de vice-président à Baseball Canada de 1992 à 1997 et il a été président de Baseball Ontario de 1993 à 1995. Il a détenu le titre de chef de mission avec l’équipe canadienne à plusieurs reprises, un poste qui sera le sien encore une fois en 2009 lors de la Classique mondiale de baseball. « Incroyable… Je ne sais quoi dire », à lancer un Bernie Soulliere surpris de sa nomination. « C’est un grand honneur pour moi. Il y a tellement de grands noms du baseball qui ont été intronisés avant moi! Imaginé, je suis intronisé en même temps que deux héros du baseball au pays, Ernie Whitt et Larry Walker ». « Je connais Bernie depuis que je suis moi-même impliqué dans le baseball au Canada et on ne se trompe pas en le qualifiant de travailleur infatigable », de dire Ray Carter. « Il n’est pas du genre à dire qu’il fait partie de l’équipe. Son travail fait en sorte que les gens sachent qu’il fait effectivement partie de l’équipe. » « Nous lui faisons entièrement confiance pour qu’il règle tous les petits détails qui, avouons-le, ne lui apporteront jamais la gloire. Il vit pour le baseball, il vit son baseball en tant que Canadien », a résumé Greg Hamilton. « Les projecteurs ne sont jamais tournés sur Bernie Soulliere, mais tous les efforts qu’il déploie pour que les nôtres réussissent sont tout simplement remarquables. » Lors de cette soirée d’intronisation, Roy « Doc » Miller, de Chatham en Ontario, qui a joué dans les ligues majeures il y a plus d’un siècle et qui est décédé en 1938, sera intronisé à titre posthume. Rappelons que les quatre nouveaux membres du Temple de la renommée du baseball canadien seront intronisés lors d’une cérémonie tenue le 20 juin à compter de 11 heures au Musée du Temple de la renommé de baseball canadien sis à St. Mary’s en Ontario.
Ottawa, Ontario – Baseball Canada annonce que l’association du baseball mineur de Yorkton en Saskatchewan devient la deuxième association au Canada et la première dans cette province à obtenir sa certification « Approuvé RBI ». « Voici une belle plume à notre chapeau », s’est exclamé Brian Trollope de l’association de Yorkton. « Nous démontrons ainsi à nos membres et aux communautés voisines que le baseball du niveau de base est important ». L’association de Yorkton va ajouter à ses activités de 2009 le programme « Rallye Cap » et selon Trollope, il s’agissait de la pièce qui manquait à leur programme de développement. « Lors des réunions que nous avons tenues avec les gens de Baseball Canada, nous avons compris que le programme “Rallye Cap” était ce que nos jeunes entraîneurs attendaient depuis longtemps. » L’association de Yorkton a déjà demandé à ses entraîneurs de s’inscrire pour compléter leur formation de niveau initiation du programme national de certification des entraîneurs (PNCE). Par ailleurs, elle a requis de toutes ses équipes de s’assurer que tous les entraîneurs respectent les exigences de certification émanant de Baseball Canada. L’association de Yorkton a également mis en œuvre le « contrôle des lancers » dans les divisions de jeu moustique, pee-wee et bantam. Une autre des belles réalisations de cette association est la croissance continuelle du nombre de filles inscrites pour jouer au baseball dans leur région. Pour la saison 2009, l'accréditation RBI est offerte aux associations locales de baseball qui rencontrent les standards minimums d'opération établis en considérant les critères suivants : Présence de programmes de développement; Adhésion à Baseball Canada; Formation des entraîneurs; Accessibilité. Pour être accréditée RBI par Baseball Canada, une association doit satisfaire les exigences suivantes : Être membre en règle de sa fédération provinciale de baseball (telle que reconnue par Baseball Canada) ainsi que de Baseball Canada quant à l'inscription de tous les joueurs, les entraîneurs et les arbitres qui participent aux activités de l'association; Utiliser le programme « Rallye Cap » comme programme d'initiation principal pour les joueurs de 5 à 8 ans; Contribuer à la formation de ses entraîneurs en les dirigeant vers les programmes du « PNCE » de Baseball Canada et en s'assurant que tous ses entraîneurs au niveau régional soient formés adéquatement selon les exigences de Baseball Canada; Assurer dans toutes les ligues « maison » la présence d’au moins un entraîneur formé au minimum au niveau initiation; Offrir l'accès à ses programmes de baseball autant aux filles qu’aux garçons, et ce, dans tous les groupes d'âge; Garantir l’utilisation de la règle du contrôle des lancers mise de l’avant par Baseball Canada pour les divisions moustique et pee-wee. Vous souhaitez devenir une association accréditée RBI pour la saison 2009! Rien de plus simple, envoyez un courriel à rbi@baseball.ca en précisant que vous rencontrez les critères requis à votre acceptation. Baseball Canada communiquera avec vous afin de compléter le processus d’accréditation.
Ottawa, Ontario – La première fois que vous rencontrez Don Gilbert, vous constatez rapidement qu’il est un homme modeste, sans prétention, gentil et des plus accueillant. Difficile au premier abord d’imaginer que cet homme a été superviseur des arbitres de Baseball Canada durant douze ans. Humble de nature, Gilbert, qui est de LaSalle en Ontario, parle peu de ses exploits personnels et lorsqu’il en parle, soyez assuré qu’il ne se mettra pas en vedette. Pourtant, ce qu’il a réalisé pour les arbitres ici au Canada est remarquable. Sous sa supervision, les arbitres du pays ont pris du galon sur la scène internationale. À partir du moment où en 1996 il a accepté de relever le défi de superviseur des arbitres pour tout le pays, jamais n’a-t-on vu autant d’arbitres de chez nous participer à des tournois internationaux. Mais, ne comptez surtout pas sur Gilbert pour prétendre être pour quelque chose dans cette situation. D’ailleurs à ce sujet, il précise : « Le crédit revient indéniablement aux gens dans les provinces et aux superviseurs provinciaux. Mon implication s’est limitée à leur suggérer de faire ceci ou cela. » Il ajoute même : « La plupart du temps, c’est moi qui ai reçu le crédit pour l’amélioration de notre personnel d’arbitres, pourtant, c’est dans les provinces que le travail a été accompli. » Une autre de ses réalisations d’importance est l’introduction du manuel d’opération des arbitres de Baseball Canada. Ce manuel a largement contribué à établir les standards nationaux pour l’administration et pour le développement des arbitres au Canada. « Le manuel a éliminé toutes sortes de méthodes de travail qui existaient au Canada », explique Gilbert. « Vous ne voudriez certes pas qu’un petit groupe d’arbitres viennent vous dicter comment faire les choses. Avec ce manuel, le processus est établi. Le document précise que dans telle ou telle situation, nous travaillons comme suit. » Gilbert a fait beaucoup pour les arbitres au Canada, et ce, pas seulement en agissant comme superviseur. Il possède plus de 30 ans d’expérience comme arbitre, 30 années où son travail a été salué par les joueurs, les spectateurs, ses pairs et ses superviseurs. Gilbert a œuvré lors de plusieurs compétitions provinciales, nationales et internationales. Pour lui, le summum de sa carrière est survenu lorsqu’il a arbitré le match de la médaille d’or lors des Jeux olympiques d’Athènes en 2004. D’ailleurs, à ce sujet il avoue que les Jeux olympiques lui ont donné une nouvelle vision du travail des arbitres professionnels. « Lors des Jeux, le niveau de concentration exigé des officiels, jour après jour, est très très élevé. Cette expérience m’a amené à vouer un grand respect aux professionnels de l’arbitrage. » Ce respect apparaît évident dans son style de leadership, laisse entendre celui qui a remplacé Gilbert à titre de superviseur des arbitres de Baseball Canada, Corrie Davis. « Je crois que Don s’intéressait vraiment au travail de tous les arbitres du Canada, autant à celui d’un jeune de 12 ans des Maritimes, qu’à un arbitre de niveau 5 de Colombie-Britannique », fait remarquer Davis. « Ce qui a fait de lui un bon leader, est qu’il avait beaucoup d’affinités avec nous. Il comprenait les défis spécifiques auxquels les arbitres sont confrontés et il a toujours travaillé à améliorer la situation pour nous. » « Si vous étiez un arbitre, il vous traitait comme un membre de sa famille ». Cette affinité avec les autres arbitres, Gilbert l’a développé dès ses débuts dans la profession en Ontario. Tout a commencé pour lui quand il a arbitré un match junior des Mic Mac. « J’ai été très mauvais », se souvient Gilbert. « J’ai même appelé pour “prise” certains lancers qui avaient touché le sol avant de passer le marbre. » Après ce match, Gilbert a travaillé fort pour améliorer sa technique. Il est rapidement devenu un des meilleurs arbitres de baseball au Canada. Il a d’ailleurs reçu plusieurs prix pendant sa carrière, comme celui de l’arbitre de l’année en Ontario en 1992, celui de l’arbitre de l’année de Baseball Canada en 1997, tout en étant honoré également à titre d’arbitre international de l’année par l’IBAF en 2004. L’honneur le plus récent qu’il a reçu est celui d’être intronisé au Temple de la renommée de Windsor Essex en 2008. « J’ai beaucoup apprécié cet honneur », a déclaré Gilbert. « Mais, un tel honneur ne devrait pas être attribué à un arbitre », philosophe-t-il avec un large sourire. Mais, plus impressionnant encore que ses réalisations personnelles, il y a tous les exploits qu’il a, grâce à sa supervision, aidé à accomplir. « Un leader ne peut pas connaître le succès s’il entraîne sa troupe dans une direction qu’elle ne veut pas suivre », explique Corrie Davis. « Je crois que la raison pour laquelle Don avait tellement de succès est qu’il savait diriger son bateau dans la même direction prise par les autres embarcations. Et ce, tout en continuant à motiver ses troupes. » « Nous avons une dette envers Don pour les douze années de leadership qu’il nous a donnée », ajoute Davis. « Le programme a progressé considérablement sous sa supervision. Je crois que la meilleure façon de le remercier est de suivre la voie qu’il nous a indiquée, ce qui fournira encore plus d’occasions à nos arbitres canadiens d’atteindre leurs objectifs ».
Trois-Rivières, Québec - Une figure de marque du baseball au Québec se trouve présentement dans la belle province. En effet, l'ex-gérant des Expos et des Giants de San Francisco Felipe Alou était de passage à Trois-Rivières afin d'y prononcer une conférence à l'occasion de la convention annuelle des entraîneurs de Baseball Québec. Baseball Canada a contribué à la venue de Felipe en supportant financièrement Baseball Québec.Le premier gérant du baseball majeur issu de la République Dominicaine a traité de la pertinence de favoriser la réussite chez le joueur en développement.Plus de 285 gérants des quatre coins de la province se sont présentés au Complexe sportif Alphonse-Desjardins de Trois-Rivières afin d'écouter les bonnes paroles de Felipe Alou.Ce dernier a louangé le programme de même que les entraîneurs de la structure de Baseball Québec.«Ces gérants connaissent fort bien le sport qu’est le baseball. Peu importe à quel niveau tu te retrouves, le jeu reste passablement le même», affirme Felipe qui éprouve toujours autant de passion pour le baseball.D’ailleurs, le Québécois d’adoption fait toujours partie de l’organisation des Giants de San Francisco à titre d'adjoint au directeur général, lui qui occupera ce poste pour une troisième année en 2009. Le meilleur gérant de l'histoire des Expos en terme de victoires garde d’excellents souvenirs de son passage à Montréal, tout comme de moins bons.«Ma promotion au poste de gérant des Expos et ma nomination au sein de l’équipe d’étoiles en 1995 font certes partie de mes meilleurs souvenirs à titre de gérant dans le baseball majeur», confie Alou.«Je dois toutefois admettre que j’avais été particulièrement touché lorsque le baseball m’a récompensé à titre de gérant de l’année en 1994. Cependant, cette saison représente également le moment le plus décevant de ma carrière, évidemment en raison de la grève déclenchée lorsque nous formions la meilleure équipe du baseball. Il s’agit d’un moment crève-cœur qui reste ancré dans ma mémoire, tout comme dans les mémoires de la plupart des amateurs de baseball québécois.Felipe Alou dirigera l'équipe nationale de la République Dominicaine qui prendra part à la Classique mondiale de baseball ce printemps. Les matchs de la premier tour seront disputés à Porto Rico.
Ottawa, Ontario – La vente à l'encan tenue par Baseball Canada lors du banquet-bénéfice des équipes nationales du week-end dernier à été un grand succès… mais il reste encore quelques articles qui n’ont pas trouvé preneur. Baseball Canada vous offre donc une deuxième chance de participer et d’en profiter. Vous pouvez placer vos mises dès maintenant, et ce, jusqu’à 16 heures, heure de l'Est, le lundi 9 février. Parmi les articles restants, on retrouve une semaine au luxueux « Complexe ski et golf » de Panorama en Colombie-Britannique. Mais ce n’est qu’un des nombreux articles restants. Pour un aperçu de tous les articles qui sont encore en vente, cliquez sur le lien suivant « Cliquer ici »qui vous amène à la liste complète. Pour déposer une offre, il suffit de transmettre un courriel à l’adresse suivante : media@baseball.ca, en précisant «Encan du Gala méritas ». Et n'oubliez pas d'inscrire votre nom, le numéro de l’article, votre offre et votre numéro de téléphone. Les offres seront mises à jour quotidiennement à 16 h, heures de l'Est. Les gagnants seront avisés en ligne le mardi 10 février. Prenez note que les coûts de livraison ne sont pas inclus.
Toronto, Ontario – Autumn Mills est une athlète polyvalente! L’été elle est membre de l’équipe canadienne féminine de baseball et l’hiver elle porte les couleurs des Lions de l’Université York… au hockey! Pas étonnant alors que l’Ontario University Athletics ait décidé de l’honorer à titre de meilleure étudiante-athlète de la province. C’est le 10 février prochain, lors du sixième banquet annuel Women of Influence, un événement qui vise à rendre hommage à des étudiantes-athlètes qui ont brillé dans leur sport respectif tout en excellant dans leur champ d’études, que Mills sera honorée. Autumn Mills, qui n’est âgée que de 20 ans, est membre de l’équipe nationale féminine depuis 2005 et elle a participé à deux reprises à la Coupe du monde de baseball féminin. Et à chacune des occasions, elle est revenue au pays avec une médaille au cou : en 2006, c’était une médaille de bronze et en 2008, une médaille d’argent. À son palmarès, ajoutons également qu’elle a remporté un championnat canadien alors qu’elle s’alignait pour l’équipe ontarienne. En plus de ses talents au baseball, Mills, qui est originaire de London en Ontario, évolue à l’aile droite depuis trois saisons avec l’équipe de hockey féminine de l’Université York, les Lions, où elle est un des piliers de l’équipe. La saison dernière, elle a aidé les siens à se qualifier pour les séries éliminatoires pour la première fois en cinq ans. Elle a terminé au cinquième rang des pointeurs de son équipe y allant d’une récolte de 11 points (6 buts et 5 passes). Déjà, cette saison elle a surpassé sa marque de la saison dernière, affichant un dossier de 14 points (8 buts et 6 passes), la quatrième meilleure fiche de sa formation. En tant qu’étudiante, Mills récolte tout autant de succès dans ses études que dans ses activités sportives. Elle est en effet une étudiante exceptionnelle, qui dans ses temps libres pratique le bénévolat! L’année dernière, son nom apparaissait sur la liste des « All Canadian » des étudiantes-athlètes de l’association inter-universitaire canadienne. Elle vise à obtenir un baccalauréat en enseignement. Déjà d’ailleurs dans le cadre de son programme à l’Université York elle a effectué un stage d’enseignement dans une école primaire. « Il y a plusieurs autres athlètes à l’Université York qui auraient pu mériter ce prix et je suis très honoré d’avoir été choisi pour ce méritas », s’est exclamé Mills. « C’est très stimulant de constater que mes succès dans les deux sports que je pratique et ma réussite scolaire ont été remarqués. » Et quand elle n’est pas sur la patinoire, sur les losanges ou dans une salle de classe, Mills œuvre à titre de bénévole comme entraîneur d’une équipe de baseball masculin en plus d’aider de jeunes athlètes à améliorer leurs techniques. L’été dernier, elle a dirigé une clinique de baseball féminin, All Girls Baseball Day, en Nouvelle-Écosse, avec Melanie Harwood (Thornhill, Ontario), une de ses coéquipières au sein de l’équipe nationale féminine. Ensemble, elles ont dirigé plus de 80 jeunes filles âgées de 5 à 13 ans dans toute une panoplie d’exercices. De plus, elles ont joué le rôle d’arbitre pour les matchs de clôture de l’événement. Mills est aussi instructeur au centre d’entraînement de baseball et de balle-molle Frozen Ropes Canada. Et comme si ses études, la pratique de ses deux sports au niveau élite et son bénévolat n’était pas suffisant, elle occupe deux emplois à temps partiel afin de payer ses études! Cette année, la porte-parole du banquet annuel Women of Influence est la détentrice de deux médailles en lutte olympique, Tonya Verbeek. Celle-ci est devenue la première lutteuse féminine a gagné une médaille olympique quand elle a remporté la médaille d’argent dans la catégorie de 55 kg aux Jeux olympiques d’été d’Athènes en 2004. Puis, quatre ans plus tard, à Pékin, elle a remporté une autre médaille, celle de bronze, devenant la lutteuse canadienne la plus décorée aux Jeux olympiques. Les billets pour l’événement sont disponibles au prix de 88,20 $ (incluant les taxes). Pour réserver il faut communiquer avec madame Lisa Constanzo par téléphone au 416 923-1688, poste 23 ou par courriel à l’adresse suivante : lconstanzo@powerpointgroup.com. Rappelons que le banquet a lieu le 10 février prochain de 12 à 14 heures au Metro Toronto Convention Center (Édifice Nord), situé au 255 rue Front Ouest à Toronto, Ontario.
Ottawa, Ontario – L’hôtel Renaissance du Centre Rodger de Toronto a été le théâtre samedi dernier, le 24 janvier 2009, du septième gala méritas de Baseball Canada, une soirée fort bien réussie, dont les profits sont destinés au financement des équipes nationales. « Encore une fois, nous sommes chanceux de pouvoir célébrer l’excellence du baseball canadien en compagnie de plusieurs de nos anciens joueurs, des représentants de nos commanditaires, de dirigeants du baseball majeur et de nombreux amis qui ont tous contribué au fil des ans, soit directement, soit indirectement, à l’évolution et à la progression de nos équipes nationales », a soutenu le directeur des équipes nationales au sein de Baseball Canada, Greg Hamilton. « Nous sommes heureux et très honorés d’obtenir l’appui constant de nos partenaires. Ils contribuent à faciliter notre travail de recherche de l’excellence au sein du baseball canadien, excellence qui nous permet, par ailleurs, d’avoir une grande influence de façon globale sur notre sport. » Cette soirée a permis à Baseball Canada, lors de la remise des méritas annuels, de célébrer tout autant le passé, le présent, que le futur du baseball canadien. Tout d’abord, le légendaire Larry Walker a été honoré. Il est devenu le premier joueur à être intronisé au tableau d’honneur de l’excellence de Baseball Canada. Cette intronisation a été confiée à David Vander Voet de RBC Wealth Management. Les statistiques maintenues en carrière par l’athlète de Colombie-Britannique justifient parfaitement l’hommage qui lui a été rendu : Walker détient presque tous les records canadiens des ligues majeures de baseball, dont entre autres une moyenne au bâton de ,313 en carrière, 383 coups de circuit, 1 311 points produits, 2 160 coups sûrs, 471 doubles et 230 buts volés en 1 988 matchs dans les grandes ligues. Il fut le joueur le plus utile à son équipe dans la ligue nationale en 1997, réalisant une saison reconnue par les experts comme l’une des meilleures dans l’histoire des ligues majeures. Cette année-là, il a frappé pour une moyenne de .366, claquant 49 coups de circuit et 46 doubles tout en produisant 130 points. À cela il a ajouté 33 buts volés. En 153 matchs, il aura maintenu une moyenne de puissance astronomique de ,720. Walker a accepté l’honneur en déridant la foule. En effet, lors de son allocution, il a mentionné : « Je dois remercier l’équipe de hockey des Pats de Regina qui m’ont retranché à deux reprises lors de leur camp d’entraînement. Cela a grandement facilité mon choix de carrière. » Brett Lawrie de Langley en Colombie-Britannique, a mérité quant à lui, le prix du joueur le plus utile de l’équipe nationale junior, et ce, pour la deuxième fois en trois ans. Ce prix est commandité par Disney’s Wide World of Sports. Lawrie a été brillant en offensive pour l’équipe nationale junior lors du championnat mondial junior tenu à Edmonton. Lors de cette compétition de première importance, il a réalisé un tour du chapeau, menant le tournoi pour la moyenne au bâton (,469), pour les circuits (3) et pour les points produits (16). Il avait précédemment fait étalage de ses talents à la frappe en République dominicaine alors qu’il avait claqué cinq circuits durant un programme double disputé face à une formation composée de recrues de l’organisation des Mariners de Seattle. Nick Weglarz de Stevensville en Ontario a reçu le trophée méritas du joueur le plus utile à l’équipe olympique canadienne. Le méritas a été présenté par Steve Rogers, un ancien des Expos de Montréal, aujourd’hui représentant de l’association des joueurs des ligues majeures. Weglarz a largement contribué à permettre au Canada de se qualifier pour les Jeux olympiques de Pékin. Lors du tournoi final de qualification, il a frappé pour une moyenne au bâton de ,450, y allant de trois circuits et de sept points produits. Puis, lors des Jeux olympiques, il a mené l’équipe canadienne au chapitre de la moyenne au bâton (,400), pour les circuits (2) et pour les points produits (5). Il a également laissé sa marque dans les rangs professionnels terminant troisième au classement des dix meilleures recrues de l’organisation des Indians de Cleveland, classement établi par Baseball America. Dave Bartlett de Mizuno Canada a remis le prix Stubby Clapp à Scott Richmond de North Vancouver en Colombie-Britannique. Richmond représente parfaitement le type d’athlètes que le prix Stubby Clapp veut honorer. Initialement travailleur dans le port de Vancouver, Richmond s’est retrouvé cette saison sur un monticule des ligues majeures! Après avoir complété sa carrière collégiale, ce lanceur droitier de 6 pieds 5 pouces faisant osciller la balance à 220 livres a joint les rangs des Cracker-Cats d’Edmonton au sein de la ligue indépendante de baseball Northern. Après trois saisons à Edmonton, les Blue Jays de Toronto l’ont mis sous contrat en 2008 et il a rapidement atteint les ligues majeures. Le 30 juillet dernier, il a fait ses débuts dans l’uniforme des Blue Jays et il a remporté sa première victoire le 26 septembre, alors qu’il a lancé six manches sans allouer de point aux frappeurs des Orioles de Baltimore. Des hommages à deux anciens de Baseball Canada ont été présentés par Larry Pearson de la Fondation L.J. Pearson. Rheal Cormier, de Cap Pelé au Nouveau-Brunswick, et Jeff Zimmerman, de Carsland en Alberta en ont été les récipiendaires. Cormier a représenté son pays à deux occasions aux Jeux olympiques. La première fois en 1988 et la deuxième à Pékin cet été. Ce lanceur qui a évolué durant 16 saisons dans les ligues majeures a annoncé sa retraite du baseball au terme des Jeux. En carrière, il aura accumulé un dossier de 71 victoires contre 64 défaites, tout en maintenant une moyenne de points mérités de 4.03 en 683 matchs. Zimmerman a été un excellent releveur durant sa carrière avec les Rangers du Texas. Il est l’auteur de quelques records d’équipe, dont celui du plus de victoires consécutives à compter d’un début de la saison, soit neuf. Il a été membre de l’équipe de la ligue américaine pour le match des Étoiles en 1999. Aujourd’hui, il est coprésident du groupe des anciens de Baseball Canada, en plus d’agir à titre d’entraîneur avec l’équipe nationale junior. Le prix « Reconnaissance spéciale » a été présenté à Chris Reitsma de Calgary en Alberta par Steve Rogers de l’association des joueurs des ligues majeures. Reitsma a joué durant sept saisons dans les grandes ligues, disputant 338 matchs avec les Reds de Cincinnati, les Braves d’Atlanta et les Mariners de Seattle. Tout comme Cormier, ce lanceur droitier a mis un terme à sa carrière après avoir représenté son pays aux Jeux olympiques à Pékin. Reitsma est maintenant de retour dans sa ville natale de Calgary où il s’implique dans la communauté oeuvrant avec des enfants handicapés mentalement et physiquement. De son côté, Joey Votto de Toronto, Ontario a reçu le méritas de l’exploit de l’année, un autre prix présenté par Steve Rogers de l’association des joueurs des ligues majeures. Votto a maintenu une moyenne à la frappe de .321 avec quatre coups de circuit et 17 points produits en 24 matchs lors de son premier séjour avec les Reds de Cincinnati en 2007. Puis, en 2008, à sa première saison complète dans les majeures Votto a terminé deuxième au scrutin de la recrue de l’année dans la ligue nationale, tout juste derrière Geovany Soto des Cubs de Chicago. Le joueur de premier but ontarien a frappé pour une moyenne de .297 avec 24 coups de quatre buts, 84 points produits et 32 doubles en 151 matchs au cours de la campagne. Au cours de la soirée, trois généreux partenaires de Baseball Canada y sont allés de remises de dons importants en argent. Les ligues majeures de baseball, les Blue Jays de Toronto et la Banque Royale du Canada ont remis respectivement des sommes de 100 000 $, 15 000 $ et 10,000 $ à l’organisme national. « C’est mille fois merci que je me dois de dire à nos commanditaires », de déclarer le directeur général de Baseball Canada, Jim Baba. « Ils démontrent un intérêt continuel à promouvoir le baseball au Canada, et ce, à tous les niveaux, de la base à l’élite. Un grand merci! » Baseball Canada tient également à remercier tous ceux qui ont fait de ce banquet-bénéfice tenant lieu de septième gala méritas une soirée inoubliable.
Ottawa, Ontario – C’est lundi le 19 janvier 2009 que les amateurs de baseball pourront mettre la main sur des billets pour les matchs de la première ronde de la Classique mondiale de baseball qui seront disputés au Centre Rogers de Toronto. Les billets pour les matchs individuels seront disponibles sur Internet aux adresses suivantes : www.worldbaseballclassic.com ou www.bluejays.com. Le premier « play ball » de ce prestigieux tournoi sera entendu à 14 heures le samedi 7 mars 2009, quand nos représentants d’Équipe Canada affronteront les porte-couleurs de la formation des États-Unis. Des équipes de partout au monde vont participer du 5 au 23 mars prochain à cette classique. Six matchs de la première ronde seront disputés au Centre Rogers de Toronto. Pour l’occasion, le Canada, les États-Unis, l’Italie et le Venezuela se mesureront à Toronto. Les représentants des médias souhaitant être accrédités pour la portion nord-américaine de la Classique mondiale de baseball peuvent soumettre leur demande, dès maintenant, en ligne à l’adresse http://credentials.mlb.com. Toutes les demandes doivent être soumises en ligne avant le vendredi 20 février. Aucune demande ne sera acceptée après cette date. Qu’est-ce que la Classique mondiale de baseball?La Classique mondiale de baseball est le plus important tournoi international sanctionné par la Fédération internationale de baseball (IBAF) et il met en vedette les meilleurs joueurs de baseball au monde. Peu importe la ligue où évoluent les joueurs, dans cette compétition ils représentent leurs pays ou territoires. Lors de la première édition de la Classique mondiale de baseball tenue en mars 2006, 486 joueurs, dont 235 provenant des organisations des ligues majeures de baseball, représentant 16 équipes de partout dans le monde, ont participé. Lors de la deuxième édition de la classique, qui se tient du 5 au 23 mars 2009, c’est encore une fois les 16 meilleures équipes nationales au monde qui participeront. La classique est présentée tous les quatre ans et déjà les dirigeants de l’IBAF songent à élargir les cadres pour le tournoi de 2013.
Ottawa, Ontario – La Fédération internationale de baseball (IBAF) a publié pour la première fois de son histoire un classement mondial des fédérations membres. Le nom du Canada apparaît au septième rang sur un total de 44 pays. C’est sans trop de surprises que l’on retrouve Cuba en pôle position du classement inaugural, suivi des États-Unis et de la Corée. Le système de classement a été développé avec la collaboration de Scott Goode qui est directeur des informations de nature sportive de l’université Harding en Arkansas (États-Unis). Il est basé sur le nombre de points obtenus par les équipes membres de l’IBAF lors de leur participation à des événements sanctionnés par la fédération internationale au cours d’une période de quatre ans, ou encore sur une période comportant deux « Coupe du monde de baseball ». « Ce type de classement aurait dû être publié depuis longtemps », a souligné le président de l’IBAF, Harvey Schiller, dans un communiqué émis récemment. « Le niveau de compétition est en progression d’année en année et il était temps que nous reconnaissions les fédérations qui participent et qui réussissent bien lors de nos tournois, que ce soit lors d’un événement intercontinental ou à la Coupe du monde ». Les équipes accumulent des points en fonction du classement obtenu lors d’un événement. Le gagnant d’un tournoi se mérite 50 points, l’équipe terminant deuxième en obtient 40, la formation de troisième place en récolte 30, alors que la quatrième au classement s’en voit créditer 15. Puis, les autres points sont divisés également parmi les autres équipes afin d’assurer un équilibre entre les tournois se tenant sur des terrains de différentes dimensions. Lorsque les points ont tous été distribués, un facteur est appliqué au total de chacun pour tenir compte du niveau de compétition du tournoi. Pour les championnats mondiaux majeurs tels les Jeux olympiques, la Coupe du monde ou la Classique mondiale de baseball, le total de points récolté par les équipes est multiplié par 4. Pour les championnats mondiaux mineurs, tels le championnat junior, le « Youth », ou encore le championnat universitaire, les points sont multipliés par le facteur 1. Pour les autres tournois, comme ceux tenus entre équipes d’un même continent, un facteur allant de .25 à 1 est utilisé. Celui-ci est établi en fonction du nombre d’équipes classées de 1 à 10 au niveau mondial qui participent à la compétition. « Nous sommes confiants que nos classements reflètent avec précision la performance des fédérations membres durant les quatre dernières années », a affirmé monsieur Schiller. « Et nous sommes très heureux de constater qu’au sein des 20 meilleures équipes apparaissant à notre classement, nous retrouvons des formations des six continents! Une belle preuve de la croissance continuelle du baseball dans le monde ». Les classements seront utilisés comme une méthode promotionnelle seulement et ne seront pas nécessairement utilisés par l’IBAF ou par les fédérations de baseball pour l’organisation de tel ou tel événement. De plus, il n’est pas obligatoire non plus que les fédérations utilisent ces classements pour leur promotion. Ce n’est qu’un outil de plus qui est disponible. Le classement sera mis à jour suite à la tenue d’événements reconnus ou sanctionnés par l’IBAF. Voici les 10 premiers pays au classement : 1. Cuba2. États-Unis3. Corée4. Japon5. Chine Taipei6. Pays-Bas7. Canada8. Mexique9. Panama10. Australie Le classement complet est disponible sur le site Internet de l’IBAF à l’adresse suivante : http://www.ibaf.org/2008/world_rankings_09.html
Ottawa, Ontario – Suite à la couverture médiatique accordée aujourd’hui à la décision de l’Agence du revenu du Canada de révoquer l’enregistrement de Little League Canada, la Fédération canadienne de Baseball amateur (Baseball Canada) se voit dans l’obligation de faire une déclaration officielle, et ce, afin d’éviter toute confusion qui pourrait affecter le lien de confiance qui lie Baseball Canada à ses membres, à la communauté sportive et au grand public en général. « Baseball Canada tient à préciser que son organisme est une entité différente de Little League Canada, les deux organismes étant tout à fait distincts. Baseball Canada est l’organisme reconnu par le gouvernement fédéral et notre statut d’organisme de charité demeure toujours en vigueur. » Ray Carter, le président de Baseball Canada, souhaite rassurer les Canadiens quant à son organisation : « C’est regrettable ce que l’on entend actuellement relativement à Little League Canada, mais notre organisme est différent du leur et nous demandons aux Canadiens de bien faire la distinction entre nos deux groupes. Nous voulons continuer à travailler au développement du jeu de baseball comme nous le faisons depuis 1964 ! » Pour toute information supplémentaire, vous êtes priés de communiquer avec André Cormier à Baseball Canada par téléphone au numéro 613-748-5606.
.jpeg)
